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1Après cela, Jésus s'en alla sur l'autre rive de la mer de Galilée, la mer de Tibériade.[#6.1 Mt 14.13-21/ / ; 15.32-39/ /. – la même expression est traduite de l'autre côté en 1.28. – ou lac litt. la mer de Galilée de Tibériade ; certains mss portent sur l'autre rive de la mer de Galilée, dans la région de Tibériade ; cf. 21.1 ; Mt 4.13.]
2Une grande foule le suivait, parce qu'elle voyait les signes qu'il produisait sur les malades.[#6.2 2.11+,23.]
3Jésus monta sur la montagne ; là, il s'assit avec ses disciples.[#6.3 V. 15 ; Mt 5.1+.]
4Or la Pâque, la fête des Juifs, était proche.[#6.4 2.13+ ; cf. 5.1 ; Lc 22.1/ / ; voir et fêtes.]
5Jésus leva les yeux et vit qu'une grande foule venait à lui ; il dit à Philippe : Où achèterons-nous des pains pour que ces gens aient à manger ?[#6.5 1.43+. – cf. 4.8.]
6Il disait cela pour le mettre à l'épreuve, car il savait, lui, ce qu'il allait faire.[#6.6 cf. 8.6 ; Mt 4.1. – cf. v. 61,64+ ; 1.48 ; 2.25 ; 4.17-19,29,44 ; 16.30 ; 21.17.]
7Philippe lui répondit : Deux cents deniers de pains ne suffiraient pas pour que chacun en reçoive un peu.[#6.7 Cf. Mc 6.37. – voir , poids et monnaies.]
8Un de ses disciples, André, frère de Simon Pierre, lui dit :[#6.8 1.40+.]
9Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d'orge et deux poissons ; mais qu'est-ce que cela pour tant de gens ?[#6.9 Cf. 2R 4.42-44.]
10Jésus dit : Faites installer ces gens. – Il y avait beaucoup d'herbe en ce lieu. – Ils s'installèrent donc, au nombre d'environ cinq mille hommes.
11Jésus prit les pains, rendit grâce et les distribua à ceux qui étaient là ; il fit de même pour les poissons, autant qu'ils en voulurent.[#6.11 21.9-13 ; Lc 22.19. – Voir]
12Lorsqu'ils furent rassasiés, il dit à ses disciples : Ramassez les morceaux qui restent, pour que rien ne se perde.[#6.12 ou recueillez, rassemblez ; même verbe 4.36 ; 11.52. – cf. v. 27,39+.]
13Ils les ramassèrent donc ; ils remplirent douze paniers avec les morceaux des cinq pains d'orge qui restaient à ceux qui avaient mangé.[#6.13 cf. v. 67+.]
14A la vue du signe qu'il avait produit, les gens disaient : C'est vraiment lui, le Prophète qui vient dans le monde.[#6.14 2.11+,23. – 1.21+. – 1.9+.]
15Jésus, sachant qu'ils allaient venir s'emparer de lui pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, seul.[#6.15 2.24. – ou l'enlever, cf. 10.12,28. – cf. 1.49 ; 12.13 ; 18.33-39 ; 19.3,12,19. – certains mss portent s'enfuit ; cf. v. 3+ ; Mt 14.13/ / ; Mc 1.35.]
16Le soir venu, ses disciples descendirent jusqu'à la mer.[#6.16 Mt 14.22-32/ /.]
17Ils montèrent dans un bateau pour se rendre à Capharnaüm, sur l'autre rive de la mer. Les ténèbres étaient déjà là, et Jésus n'était pas encore venu à eux.[#6.17 2.12+. – certains mss portent les avaient surpris (ou saisis, cf. 1.5). – cf. 14.3,18.]
18Un vent violent soufflait et la mer se soulevait.[#6.18 Mt 8.24/ /.]
19Après avoir ramé environ vingt-cinq ou trente stades, ils aperçoivent Jésus qui marche sur la mer et s'approche du bateau ; ils eurent peur.[#6.19 environ cinq km, ce qui semble situer la scène au milieu du lac ; voir . – cf. 21.1 ; Es 43.16 ; Ps 77.20 ; Jb 9.8.]
20Mais il leur dit : C'est moi, n'ayez pas peur ![#6.20 voir 4.26 ; Mt 14.27/ /. – Mt 17.7 ; 28.10 ; Mc 5.36/ / ; Lc 5.10 ; voir .]
21Ils voulaient donc le prendre dans le bateau ; aussitôt le bateau toucha la terre, là où ils allaient.[#6.21 Cf. Ps 107.30.]
22Le lendemain, la foule qui était restée sur l'autre rive de la mer vit qu'il n'y avait eu là qu'une seule barque et que Jésus n'était pas monté en bateau avec ses disciples, mais que ses disciples étaient partis seuls.[#6.22 21.8 ; Mc 3.9.]
23Cependant d'autres barques vinrent de Tibériade, près du lieu où ils avaient mangé le pain, après que le Seigneur eut rendu grâce.[#6.23 V. 11+. – ou bateaux (v. 22), selon les mss. – cf. Mt 26.27.]
24Quand la foule vit que ni Jésus, ni ses disciples n'étaient là, les gens montèrent eux-mêmes dans ces barques et vinrent à Capharnaüm, à la recherche de Jésus.[#6.24 2.12+ ; cf. 6.17. – cf. Mc 1.37.]
25Ils le trouvèrent sur l'autre rive de la mer et lui dirent : Rabbi, quand es-tu arrivé ici ?
26Jésus leur répondit : Amen, amen, je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés.[#6.26 V. 11s.]
27Œuvrez, non pas en vue de la nourriture qui se perd, mais en vue de la nourriture qui demeure pour la vie éternelle, celle que le Fils de l'homme vous donnera ; car c'est lui que le Père – Dieu – a marqué de son sceau.[#6.27 ou travaillez : cf. v. 28ss ; 9.4 ; voir aussi 2Jn 8. – ou qui périt, cf. v. 12,39+. – 4.14+,32-34 ; Es 55.2. – 1.51+. – v. 32-50. – cf. 3.33 ; 2Co 1.22 ; Ep 1.13 ; 4.30 ; Ap 7.3s.]
28Ils lui dirent : Que devons-nous faire pour accomplir les œuvres de Dieu ?[#6.28 litt. œuvrer les œuvres (le verbe et son complément sont apparentés) ; cf. v. 27 ; cf. 9.4.]
29Jésus leur répondit : L'œuvre de Dieu, c'est que vous mettiez votre foi en celui qu'il a lui-même envoyé.[#6.29 V. 27+ ; cf. 4.34 ; 1Jn 3.23 ; cf. Ep 2.8ss.]
30Ils lui dirent alors : Quel signe produis-tu donc, toi, pour que nous voyions et que nous te croyions ? Quelle œuvre fais-tu ?[#6.30 voir 2.11+,18,23 ; Mt 16.1-4/ /. – v. 36+. – ou que nous ayons foi en toi, v. 29 ; 1.7. – Le verbe correspondant à cette expression est traduit par œuvrer v. 27s.]
31Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit : Il leur donna à manger du pain venu du ciel .[#6.31 v. 49. – Ex 16.15 ; Nb 11.7-9 ; 21.5 ; Dt 8.3. – Ps 78.24 ; 105.40 ; Né 9.15 ; cf. 16.20 : « Tu as distribué à ton peuple une nourriture d'anges, tu lui as procuré du ciel, sans effort de sa part, un pain tout préparé. »]
32Jésus leur dit : Amen, amen, je vous le dis, ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain du ciel, c'est mon Père qui vous donne le vrai pain du ciel ;[#6.32 1.51 ; Mt 5.18. – 1.17+. – ou venu du ciel, comme au v. 31 ; cf. v. 41,51.]
33car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel pour donner la vie au monde.
34Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là.[#6.34 Cf. 4.15 ; Mt 6.11/ /.]
35Jésus leur dit : C'est moi qui suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui met sa foi en moi n'aura jamais soif.[#6.35 cf. 4.26 ; voir aussi 8.12 ; 10.7,9 ; 11.25 ; 14.6 ; 15.1. – v. 48,51,58. – cf. 4.14 (ici le terme signifie simplement jamais ) ; Es 49.10 ; 55.1-3 ; Pr 9.1-6 ; Mt 5.6+/ / ; 24.21 : « Ceux qui me mangent (la Sagesse) auront encore faim, et ceux qui me boivent auront encore soif » (autrement dit, la Sagesse renouvelle le désir de la Sagesse, idée voisine quoique exprimée dans des termes apparemment opposés).]
36Mais je vous l'ai dit : Vous m'avez vu, et vous ne croyez pas.[#6.36 V. 30,64 ; 15.24 ; 20.29 ; cf. 9.41 ; Mt 13.13. – certains mss portent vous avez vu.]
37Tout ce que le Père me donne viendra à moi ; et celui qui vient à moi, je ne le chasserai jamais dehors ;[#6.37 v. 29,39 ; 10.29 ; 17.2,6-9,12,24 ; 18.9 ; cf. Ac 16.14. – v. 44,65 ; cf. Mt 11.28. – autre traduction je ne le chasserai pas ; cf. 9.34 ; 12.31+ ; verbe apparenté en 1Jn 4.18.]
38car je suis descendu du ciel pour faire, non pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.[#6.38 4.34+ ; 5.30.]
39Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le relève au dernier jour.[#6.39 cf. v. 12+ ; 3.16+ ; 10.28s ; 17.12 ; 18.9 ; voir aussi Mt 18.14. – (ou que je le ) v. 40,44,54 ; cf. 5.28-29 ; 11.24 ; 12.48.]
40La volonté de mon Père, en effet, c'est que quiconque voit le Fils et met sa foi en lui ait la vie éternelle ; et moi, je le relèverai au dernier jour.[#6.40 même verbe 12.45. – 3.15+.]
41Les Juifs maugréaient à son sujet, parce qu'il avait dit : C'est moi qui suis le pain descendu du ciel.[#6.41 cf. 1.19. – (v. 43,61) ou murmuraient (même verbe 7.32, terme apparenté en 7.12) ; cf. Ex 16.2-8 ; voir aussi Mt 20.11 ; Lc 5.30 ; Ac 6.1 ; 1Co 10.10 ; Ph 2.14 ; 1P 4.9 ; Jd 16. – v. 32+.]
42Ils disaient : N'est-ce pas Jésus, le fils de Joseph, dont nous, nous connaissons le père et la mère ? Comment peut-il dire maintenant : « Je suis descendu du ciel ! »[#6.42 Cf. 7.17,27,41s ; Lc 3.23+ ; Mt 13.55/ /. – ou, selon certains mss, comment peut-il donc dire… (litt. dit-il ).]
43Jésus leur répondit : Ne maugréez pas entre vous.[#6.43 V. 41.]
44Personne ne peut venir à moi si le Père qui m'a envoyé ne l'attire ; et moi, je le relèverai au dernier jour.[#6.44 Cf. 6.37+,39+ ; 12.32 ; cf. 14.6.]
45Il est écrit dans les Prophètes : Ils seront tous instruits de Dieu . Quiconque a entendu le Père et reçu son enseignement vient à moi.[#6.45 Es 54.13 ; Jr 31.33s ; 1Th 4.9 ; 1Jn 2.27. – Mt 5.17 ; Lc 18.31+.]
46Non pas que quelqu'un ait vu le Père, sinon celui qui est issu de Dieu ; lui a vu le Père.[#6.46 1.18+ ; cf. 7.29 ; 9.16,33 ; 17.7. – litt. qui est.]
47Amen, amen, je vous le dis, celui qui croit a la vie éternelle.[#6.47 certains mss portent celui qui met sa foi en moi, cf. 3.15.]
48C'est moi qui suis le pain de la vie.[#6.48 V. 35+.]
49Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts.[#6.49 v. 31,58 ; cf. 7.22. – v. 58 ; Nb 14.23 ; Dt 1.35 ; 1Co 10.3,5.]
50Le pain que voici, c'est celui qui descend du ciel, pour que celui qui en mange ne meure pas.[#6.50 V. 32+. – litt. pour que quelqu'un en mange et ne meure pas.]
51C'est moi qui suis le pain vivant descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra pour toujours ; et le pain que, moi, je donnerai, c'est ma chair, pour la vie du monde.[#6.51 V. 35+,58. – certains mss portent de mon pain . – 1.14+ ; cf. Mt 26.26ss/ / ; Hé 10.5-10. Certains mss portent ma chair que je donnerai pour la vie du monde.]
52Les Juifs se querellaient entre eux ; ils disaient : Comment celui-ci peut-il nous donner sa chair à manger ?
53Jésus leur dit : Amen, amen, je vous le dis, si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n'avez pas de vie en vous.[#6.53 1.51+. – cf. 4.14. – comparer avec Lv 17.10ss. – 5.26+. – Cf. Epître d'Antioche aux Romains 7.3 : « Je ne me plais plus à une nourriture de corruption ni aux plaisirs de cette vie ; c'est le pain de Dieu que je veux, qui est la chair de Jésus-Christ, de la race de David, et pour boisson je veux son sang, qui est l'amour incorruptible. »]
54Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle, et moi, je le relèverai au dernier jour.[#6.54 le verbe grec qui apparaît ici (également v. 56-58 et en 13.18 ; voir aussi en Mt 24.38 son unique autre emploi dans le N.T.) est différent de celui qui est utilisé au v. 53 ; il signifiait à l'origine mâcher et se disait surtout des animaux ; dans le grec du N.T. son usage est plus large, mais il garde sans doute un aspect plus concret que le verbe habituellement traduit par manger . – cf. 3.15+ ; 5.24. – v. 39+.]
55Car ma chair est vraie nourriture, et mon sang est vraie boisson.[#6.55 autre traduction la vraie nourriture / la vraie boisson ; certains mss portent est vraiment une nourriture / est vraiment une boisson.]
56Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, comme moi en lui.[#6.56 14.20 ; 15.4-7 ; 17.23 ; 1Jn 3.6,24.]
57Comme le Père, qui est vivant, m'a envoyé, et comme moi, je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.[#6.57 Cf. 5.26.]
58Voici le pain descendu du ciel. Il n'est pas comme celui qu'ont mangé les pères : ils sont morts. Celui qui mange ce pain vivra pour toujours.[#6.58 certains mss portent vos pères ; cf. v. 49.]
59Voilà ce qu'il dit alors qu'il enseignait dans la synagogue, à Capharnaüm.[#6.59 2.12+.]
60Après l'avoir entendu, beaucoup de ses disciples dirent : Cette parole est dure ; qui peut l'entendre ?[#6.60 ou l'écouter ; cf. 5.44 ; 8.23+ ; Mc 4.33.]
61Jésus, sachant que ses disciples maugréaient à ce sujet, leur dit : Est-ce là pour vous une cause de chute ?[#6.61 litt. sachant en lui-même . – v. 41. – 16.1 ; Mt 11.6.]
62Et si vous voyiez le Fils de l'homme monter où il était auparavant ?[#6.62 1.15 ; 3.13+ ; 12.32 ; 17.5,24 ; cf. Ac 1.9-11. – Mt 8.20.]
63C'est l'Esprit qui fait vivre. La chair ne sert de rien. Les paroles que, moi, je vous ai dites sont Esprit et sont vie.[#6.63 cf. 1.4,13 ; 3.5s ; 5.21+ ; 1Co 15.45 ; 2Co 3.6 ; Ga 6.8 ; 1P 3.18. – 3.6+. – v. 68 ; cf. 3.34 ; 5.24 ; 15.3. – Cf. Odes de 8.8s : « Ecoutez le Verbe (ou la parole) de vérité, recueillez la connaissance du Très-Haut. Votre chair ne connaîtra rien que je vous dise, ni votre vêtement rien que je vous montre. »]
64Mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient pas. Car Jésus savait depuis le commencement qui étaient ceux qui ne croyaient pas et qui était celui qui le livrerait.[#6.64 v. 36 ; cf. 5.38 ; 8.45 ; 10.26. – 2.23-25 ; 18.4. – v. 71 ; 12.4 ; 13.11 ; 18.2,5 ; 21.20.]
65Et il disait : C'est pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi, si cela ne lui est donné par le Père.[#6.65 v. 37+,44 ; cf. 14.6. – 3.27+.]
66Dès lors, beaucoup de ses disciples s'en retournèrent ; ils ne marchaient plus avec lui.[#6.66 litt. s'en allèrent en arrière ; la même formule est traduite par reculer en 18.6 ; cf. Lc 9.62.]
Cf. Mt 16.13-20 ; Mc 8.27-30 ; Lc 9.18-2167Jésus dit donc aux Douze : Et vous, voulez-vous aussi vous en aller ?[#6.67 v. 70s ; 20.24. Cf. Mt 10.1ss/ /.]
68Simon Pierre lui répondit : Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as des paroles de vie éternelle.[#6.68 Lc 22.28 ; 2Tm 1.15. – v. 63 ; Ac 5.20 ; cf. Dt 8.3. Par rapport à la confession de en Mt 16.16/ /, Jn insiste sur l'enseignement et la révélation apportés par Jésus.]
69Nous, nous sommes convaincus, nous savons que c'est toi qui es le Saint de Dieu.[#6.69 litt. nous avons cru et nous avons connu (une fois pour toutes ; le temps du verbe indique habituellement le résultat permanent d'une action passée) ; autre traduction nous avons acquis la conviction et la connaissance ; cf. 11.27 ; 1Jn 2.3 ; 4.16. – Mc 1.24+/ / ; Ac 3.14 ; certains mss font précéder ce titre de celui de Christ (voir ).]
70Jésus leur répondit : N'est-ce pas moi qui vous ai choisis, vous, les Douze ? Pourtant l'un de vous est un diable ![#6.70 13.18 ; 15.16,19 ; cf. Dt 7.6-8 ; Es 41.8 ; 43.20 ; 44.2 ; 45.4 ; 65.9,15,22 ; Am 3.2 ; 7.15 ; Lc 6.13 ; Ep 1.4. – ou un adversaire, un accusateur, un calomniateur, selon les divers sens du mot grec ; cf. 8.44 ; 13.2 ; Lc 22.3 ; voir .]
71Il parlait de Judas, fils de Simon Iscariote ; car c'était lui qui allait le livrer, lui, l'un des Douze ![#6.71 V. 64+ ; Mt 26.14/ /. – le terme correspondant est sous-entendu dans le texte ; voir aussi 13.2,26 ; sur le nom voir Mt 10.4.]